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Si vous êtes un entrepreneur, un enseignant, un formateur, ou tout simplement un passionné, alors je peux vous assurer que l’action de créer un jeu de société va apporter du fun dans votre vie ou votre activité.

Le jeu est un produit que tout le monde aime, facile à comprendre et réutilisable indéfiniment, un liant entre les gens.
Il n’est pas considéré comme un bien de consommation ordinaire.
Au XXIe siècle, ne pas avoir son jeu personnalisé s’est se priver d’une communauté convaincue, active et bienveillante et a fortiori, de clients, de fans et d’élèves.

9 avantages à créer un jeu de société

Depuis que j’anime bénévolement pour l’association clermontoise de jeux de société, je vois à chaque soirée des yeux s’illuminer et s’émerveiller devant une table, des potes et bien-sûr un jeu.
Pourquoi ?
Parce que le jeu de société, comme son nom l’indique, permet d’unifier les gens quel que soit leur statut social, leur couleur de peau, leur obédience politique ou religieuse.
J’en suis arrivé à ma propre conclusion : puisque le jeu procure plaisir, sourire, optimisme et reconnecte les humains, il comporte donc des vertus thérapeutiques !

Créer un jeu vous permet donc de rendre les gens heureux et de les unifier, mais il vous permet également à VOUS, de vous sublimer.
C’est le double effet « kiss-kool » !
J’ai repéré les 9 avantages à créer un jeu de société :

  1. Cela vous permet de sortir de la routine du métro-boulot-dodo et vous challenger autrement pour vous redonner confiance en vous et en vos compétences.
  2. Cela vous permet d’impressionner votre famille et vos amis, de vous dire « d’autres jouent avec ma création, c’est tellement motivant et grisant »
  3. Vous allez devenir le générateur de reconnexion avec les gens, votre communauté, l’instigateur de contact humain et on va vous apprécier pour cela
  4. Vous étendez vos capacités intellectuelles et créatives, votre humeur passe à l’optimisme, ce qui vous permet de rester focalisé sur un objectif !
  5. Vous vivez les événements sans polarisation, sous différents angles et point de vue et fédérez plus facilement
  6. Vous pouvez appliquer ces nouveaux enseignements à votre propre vie pour l’améliorer (et pourquoi pas : changer de vie).
  7. Avantage pour les entrepreneurs : créer un outil pédagogique et ludique pour attirer et fidéliser plus de clients et ainsi augmenter la valeur de votre entreprise.
  8. Avantage pour les formateurs et enseignants : Cela vous permet de mettre en œuvre une activité inspirante, amusante et novatrice pour vos élèves au lieu de prodiguer des cours « académiques » ennuyant.
  9. Avantage pour les collectivités : exposer votre projet de manière ludique et éducative au grand public et éviter ainsi les sempiternels panneaux publicitaires ou explicatifs que personne ne lit.

Mieux qu’un jeu de société,
un jeu de société « moderne » !

Saviez-vous que 1000 jeux de société sont édités chaque année en France ?
Le Monopoly reste à ce jour le jeu le plus vendu au monde. Le Mille Bornes, le trivial Pursuit et globalement tous les jeux que vous pouvez trouver dans les grandes surfaces font contrastes avec les jeux modernes disponibles en boutiques spécialisées.

Le jeu a subi sa révolution depuis une quinzaine d’années.
Un jeu de société moderne contient de nouvelles saveurs, de nouveaux ingrédients, de nouvelles techniques et règles et des graphismes beaucoup plus immersifs qui procurent plus de plaisir au jeu.
Le fondement principal d’un jeu moderne est que le joueur n’est plus éliminé en cours de partie, et subit moins le hasard (comme un jet de dé par exemple).
Il s’agit d’un savant dosage dans l’équilibre de plusieurs paramètres et d’interactions entre les joueurs.

Doit-on devenir créateur de jeux ?

Si je vous disais que les créateurs de jeux de société (aussi appelés auteurs) sont des gens comme vous et moi ?
À partir du moment où l’on crée un jeu, on devient auteur. Mais ce n’est pas une finalité. L’objectif n’est pas forcément devenir auteur pour vivre de cette passion.

Bruno Cathala est le champion français de la création de jeux. C’est suite à un licenciement économique qu’il est devenu auteur de jeu. Il est aujourd’hui devenu un « game designer », c’est-à-dire un créateur de jeux, avec plus de 60 productions à son actif. Il vit exclusivement de ses créations.

Cependant rares sont les auteurs à bien gagner leur vie grâce au jeu.
Il s’agit encore à l’heure actuelle d’une activité marginale, un complément de salaire.
En revanche, j’ai tellement d’exemples de personnes autour de moi qui ont vu leur vie transformée grâce à la création d’un jeu. Je pense notamment à…

Alain, professeur de piano, a vendu plus de 3000 exemplaires de son jeu de cartes pour enseigner le solfège à ses petits élèves. Cela a boosté sa carrière, et ses petits élèves n’ont plus la crainte du solfège.

Arthur était au chômage. Depuis l’édition de son jeu Dégoblinade, le jeu lui a ouvert de nouveaux horizons, il s’est lancé dans l’aventure de l’entreprenariat.

Karine adore le jeu et retisser le lien social. Elle fait la promotion de son dernier jeu qui fait un carton auprès des jeunes : “La police des émotions”. Il s’agit d’un outil pédagogique incroyable qui aide les ados à se confier et à verbaliser leur ressentis et leurs émotions…

Ces auteurs ont tous une histoire, mais ils sont comme vous et moi. Ils n’ont pas d’aptitude particulière, ils ont simplement aiguisé leur créativité au fil du temps.

Alors pourquoi certaines personnes débordent de créativité et d’inspiration alors que d’autres n’arrivent pas à concrétiser leurs idées ?

Pourquoi certains auteurs parviennent à vivre de leur création alors que d’autres luttent encore pour développer leurs capacités ?

Pour ma part, je ne viens pas non plus du monde du jeu.
Avant de devenir entrepreneur, j’étais graphiste dans l’agroalimentaire. Je voulais utiliser mes compétences au mieux pour créer un jeu de société et ainsi me fixer mon propre challenge personnel pour éviter de penser au travail qui m’attendait chaque jour et dans lequel je m’ennuyais profondément.

Pourquoi devriez-vous créer votre jeu de société moderne ?

Pour tout vous avouer, le jeu a changé radicalement ma vie !
Lorsque j’ai pris conscience du plaisir que partageaient les créateurs de jeux dans un festival ludique, j’ai alors décidé de créer mon propre jeu de société.
Avant d’obtenir un jeu vraiment abouti, qui plairait à ma famille et aux joueurs, j’ai galéré pendant des mois et des mois. J’ai passé des nuits blanches en tâtonnements et en expérimentations.
Mais ce serait mon défi pour changer de vie !

Voici ce que je me disais : 

  • Je ne sais pas comment faire, ni par où commencer
  • Dès que je tenais une idée, j’avais peur d’être copié, qu’on vole mon idée
  • Je ne savais pas quel matériel utiliser pour mon prototype
  • Je perdais beaucoup de temps à travailler le graphisme
  • Comme j’étais confus et timide, j’expliquais mal les règles du jeu 
  • Les joueurs ne savaient pas quoi faire, ils ne comprenaient pas le but

Résultat : j’ai travaillé comme un dingue sur les graphismes de mes premiers prototypes, et c’était une catastrophe, car le jeu n’avait aucun intérêt.
J’ai cru qu’une idée suffisait pour obtenir un jeu de société.
Honnêtement, ce n’est pas facile de créer un bon jeu de société qui procure du plaisir aux joueurs… On peut vite être frustré avec l’envie d’abandonner.
En réalité, sans méthodologie, mes jeux n’étaient pas aboutis et ne plaisaient pas à ma famille ni à mes amis. Vous pensez bien que je n’allais certainement pas le présenter à des inconnus ! Je n’étais pas très fier.

Warbot Arena : plateau du joueur

Tellement frustré, j’ai intégré le collectif d’auteurs de jeux de ma ville et acheté des livres sur le Game Design. J’ai également participé à des conférences avec les plus grands auteurs français de jeu de société au festival international des jeux de Cannes en 2017, animées par Antoine Bauza (7 Wonders) ou Bruno Cathala.
Je me suis accroché à mon objectif personnel, je n’ai rien lâché.

Quel sera votre défi personnel ?

À force de détermination, d’expérimentations, d’enquêtes et grâce à mes années au sein de l’association ludique que je préside, j’ai enfin trouvé la bonne formule pour créer un jeu de société moderne de A à Z avec efficacité, et éviter les écueils du débutant.

Cette formule m’a permis de gagner un Trophée lorsque j’ai présenté mon jeu “Fortress Escape” au festival ludique de Lyon, la consécration de mon défi personnel. Et la fierté de mes enfants, de ma famille et de mes amis.

Cela est très grisant, car cette expérience m’a permis de révéler mon plein potentiel créatif, redonné du sens à ma vie, de la confiance en moi et en mes capacités.
Désormais, je peux dire que créer des jeux améliore ma vie. En effet, je suis devenu entrepreneur.

Et vous, quel serait votre objectif ?

  • Aimeriez-vous développer davantage votre activité et votre clientèle, et proposer une animation amusante et exclusive et ainsi distancer vos concurrents ?
  • Souhaiteriez-vous façonner une méthode pédagogique hors norme pour permettre à vos élèves d’apprendre de nouvelles choses sans douleur et sans contrainte ?
  • Imaginez-vous le public conquis à votre cause grâce à un outil tout simple que tout le monde peut avoir en main ?

Comment transformer un défi en aventure amusante ?

Je pense que le frein de la créativité le plus tenace est soi-même en réalité.
Des internautes m’ont partagé leur doutes :

  • « Difficile d’être original, il y a trop de monde sur le marché »
  • ou « pourquoi créer un jeu, il y a déjà tellement de jeu »

Je leur réponds invariablement :

Pensez-vous que c’est ce que se disent
les auteurs passionnés qui réussissent ?

Je comprends pourquoi ces aspirants auteurs doutent d’eux-mêmes et ce n’est pas de leur faute.
En développement personnel, on appelle cela les croyances limitantes. C’est ce genre de pensées qui freinent l’ambition et la créativité. Il ne faut tout simplement pas les écouter, mais plutôt suivre son instinct.

Un autre internaute me partage son inquiétude :
– « Je n’ai pas la persévérance de terminer un jeu, car je le veux parfait, j’ai la crainte d’échouer ».

J’invite cet aspirant auteur à ne pas écouter sa petite voix négative et à poursuivre l’évolution de son jeu.
– Le jeu parfait n’existe pas, aucun auteur sur Terre dira que son jeu est parfait. Par contre, il se dira qu’il est parfaitement jouable à partir du moment où les joueurs l’adorent.
– L’échec n’existe pas. Dans l’univers du jeu de société, on parle de prototype. Un prototype est une ébauche du jeu, que l’on fait évoluer grâce aux retours des joueurs.
– Quant à la persévérance, elle grandit grâce aux joueurs qui croient en vous, en votre jeu.

Parmi les autres commentaires, celui-ci m’a marqué :

J’ai une idée, mais je ne sais pas si elle est viable.
J’ai peur de perdre du temps

Pourquoi chercher à quantifier l’énergie à déployer quand on aime ce que l’on fait ?
Créer un jeu est un défi personnel à accomplir en fonction de son emploi du temps. Quand la passion émerge, que l’inspiration vient et que la créativité pousse le cerveau à réaliser de belles choses, il ne faut pas le freiner.
Croyez-moi, vous trouverez le temps pour exalter ces instants de bonheur.
– Est-ce que votre idée est viable ?
Ah ah, lisez la suite pour avoir la réponse.

5 étapes pour réussir un jeu

Créer demande du temps. Ce n’est ni difficile, ni complexe et l’on prend énormément de plaisir.
Je vois l’envie de créer et l’effervescence sur mon blog et dans les emails que je reçois tous les jours.
Cependant, respecter précisément la recette de création d’un bon jeu permet d’éviter :

  • La frustration de perdre du temps à chercher sur internet
  • Les déboires de la conception graphique
  • La problématique du vol d’idée
  • La désillusion d’un jeu qui ne plait à personne
  • La déception des prototypes inaboutis qui s’entassent

Voilà pourquoi j’ai décidé de partager ma formule avec vous : afin d’aiguiser votre appétit insatiable de créativité et d’inspiration et de vous faire gagner du temps.
J’aimerais vous aider à appréhender ce parcours en 5 étapes. J’ai réalisé pour vous un guide à télécharger et à imprimer, intitulé « Créez VOTRE jeu de société (pour apporter du fun dans votre vie ou votre activité) ».

Si vous souhaitez relever votre propre défi, attirer plus de clients, enseigner autrement, fédérer autour d’un thème fort, alors je vous propose de suivre les 5 grandes étapes de la réussite d’un jeu.
Voici les avantages de la formule dévoilée dans ce guide :

  • Vous savez comment vous y prendre, vous connaissez toutes les étapes de création
  • Vous comprenez les avantages d’un jeu de société moderne et pourquoi les joueurs adorent les nouveaux jeux
  • Vous connaissez les astuces pour protéger votre idée
  • Vous savez développer un prototype et le faire évoluer
  • Vous savez comment persévérer sur votre jeu sans perdre de temps
  • Vous identifiez facilement quand le jeu est jouable, lorsqu’il plaît et à quel moment le diffuser
  • Vous êtes capable de réaliser des graphismes de qualité
  • Vous êtes en mesure de trouver les leviers de commercialisation

Voudriez-vous devenir auteur de VOTRE jeu et écrire votre histoire ?

Vous avez décidé d’écrire votre nouvelle histoire avec ténacité ?
Alors vivez votre odyssée des 5 étapes pour apprendre à créer VOTRE jeu de société !

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Laurent Brugiere
Laurent Brugiere

Grand Maître de l'Académie des Créateurs de Jeux

    4 réponses à "Comment créer le jeu de société de vos rêves ?"

    • Lara

      Bonjour, je suis tombée sur votre site en faisant des recherches car je suis en plein projet de création de jeux de société, et lire vos différents articles est une aide précieuse, donc tout d’abord merci !
      En effet, même si je travaille beaucoup sur les règles avant de passer aux tests et que créer un jeu n’est pas de tout repos (comme toute création à mon sens), c’est surtout tout ce qui va « autour » qui donne le tournis quand on débute et qui me pose question : comment ça fonctionne, la prise de contact avec l’éditeur, la réalisation du prototype, l’auto-édition etc. J’ai déjà trouvé bon nombre de réponses à ces interrogations sur votre site et ailleurs, mais il en reste une qui subsiste sur le plan administratif et me bloque : vous dîtes que vous êtes devenu entrepreneur. Ce statut me questionne énormément, je suis actuellement une formation qui tente de me convaincre que je dois absolument monter mon auto-entreprise pour devenir autrice de jeu, je voudrais savoir si c’est vraiment le cas… Car lors des ateliers, je me rends bien compte que l’auto-entreprise n’est pas pour moi un but en soi, je veux juste réaliser mes projets, peu importe la forme. D’où ma question : pour être auteure de jeu, doit-on forcément créer son auto-entreprise ? Je suis un peu perdue sur ces questions de statut… Merci d’avance !
      PS : malgré plusieurs tentatives, je n’arrive pas à télécharger le guide gratuit que vous proposez 🙁 serait-il possible de me l’envoyer s’il-vous-plait ? Il m’intéresse énormément !

      • Laurent Brugière

        Bonjour Lara, et merci pour tes compliments.
        Je ne te conseille pas de professionnaliser la création de jeu de société. Très peu d’auteurs vivent de la création de leurs jeux, ils ont une activité en parallèle, comme moi, qui les font vivre.
        Ma passion, c’est le jeu, mais mon activité, c’est le digital : laurent-brugiere.com.
        Ceux qui vivent exclusivement du jeu se compte sur les doigts d’une main en France : Bruno Cathala, Antoine Bauza, Ludovic Maublanc… et ça fait des années qu’ils créent.
        Nul besoin donc d’être autoentrepreneur pour proposer tes jeux aux éditeurs. Un éditeur est une société qui prend un risque en pariant sur ton prototype. L’éditeur a besoin de l’auteur. Et l’auteur est content de lui confier son jeu car il va être édité à grande échelle. C’est une question de confiance.
        Ceci dit, il y a déjà des professionnels parmi vous qui veulent créer un jeu sérieux pour éduquer votre clientèle de manière ludique. Bien évidemment, cela passe par l’auto-édition.
        Donc Lara, persévère dans la création de tes prototypes, sans te soucier de l’entreprenariat. Tu peux créer ton entreprise, mais dans un secteur plus porteur 😉
        Je vais t’envoyer manuellement ton guide.

        • Lara

          Merci beaucoup pour cette réponse rapide et précise ! C’est bien ce qu’il me semblait ! Je ne comprenais pas pourquoi il fallait que je me mette en autoentreprise puisque si j’ai bien compris, pour la rémunération, il s’agit de droits d’auteur…
          Pour le moment, je pense continuer les prototypes et tests pour approcher des éditeurs (la phase qui fait peur !). Je ne réfléchirai à l’autoédition et donc l’autoentreprise que si mes projets ne trouvent pas preneur : ayant fait des études en histoire de l’art et travaillé dans un musée, je souhaite réaliser des jeux sur le thème de l’art, des expositions, sur l’univers muséal… Ce ne seront pas des jeux éducatifs en tant que tel, on apprendra forcément des choses sur les métiers du musée et les oeuvres au passage, mais ce ne sera pas des questions réponses, il y aura du challenge, du hasard, et j’espère des enjeux qui en feront quelque chose d’intéressant… Mais j’ai parfois peur que le thème rebute un peu les éditeurs, car sorti du fanstasme du conservateur archéologue à la Indiana Jones ou du musée classique du XIXe siècle, on tombe souvent dans des jeux éducatifs beaux mais austères… et même si je ne vais pas du tout proposer ça, j’ai un peu peur que le thème même du musée et son image cliché de lieu poussiéreux et ennuyeux rebute… Enfin, on verra bien, je tenterai ou non selon les résultats des tests et les retours des testeurs et éditeurs ! Et peut-être que je tenterai l’autoédition si vraiment, mais ça m’a l’air d’être assez énorme à gérer, et je ne suis pas sûre d’avoir envie de me perdre dans cette aventure très risquée (du moins pour l’instant, on verra).
          En tout cas, je vais pouvoir aborder la formation avec un autre oeil et beauuuucoup moins me prendre la tête… c’est top ! En pratique, je cherche plutôt un travail dans la fonction publique, en musées ou bibliothèques, on m’a poussé vers une prestation pour la création d’autoentreprise car j’ai dit à Pôle emploi que j’avais des projets de jeux de société et jeux vidéos, et ils n’ont retenu que le mot « projets » en se disant « Bingo, un autoentrepreneur, go pour la prestation Activ’Crea ! », mais je me rends bien compte maintenant que c’est de la création artistique, et que ça ne rentre pas dans le même
          champ ! Mais c’est comme ça, déjà quand on travaille dans la culture on se rend vite compte que Pole emploi n’y comprend rien, ce n’est pas du tout leur champ d’action, ils l’avouent eux-mêmes (trouver un emploi de commercial ou électricien, oui, mais de régisseur d’oeuvres ou de médiateur culturel… késako ?! Haha ) donc là de la création artistique, c’est fichu, on les a perdu ! Mais allez, je prends quand même les infos pr la créa d’entreprise, ça pourrait qd même m’être utile, qui sait…
          Ha, et merci pour le guide également, je l’ai bien reçu par mail cette fois, je le lirai dès que possible 🙂
          Bonne continuation, au plaisir de se croiser peut-être un jour en salon 🙂

          • Laurent Brugière

            En effet Lara. Les droits d’auteurs issues des contrats avec des éditeurs peuvent être mis en place même si tu es un particulier. Je pense que c’est le cas pour 90% des auteurs. Il suffit de déclarer ensuite cette rémunération au niveau des impôts, c’est tout.
            C’est plus sage de ne pas te diriger vers l’entreprise pour un test de quelques protos. Fait cela dans ton temps libre.
            Par contre, il est probable que tu rencontres quelques difficultés à trouver un éditeur. En majorité, ils préfèrent des jeux grand public, et évitent les jeux sérieux. Ton idée est un peu à cheval entre jeu sérieux et grand public. Ceci dit, il existe quelques éditeurs consacrés à cette thématique.
            Force et courage.

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